Chaque adulte est un éducateur en puissance, qu'ils soit parent, voisin, professionnel ou politique. Comment fait comprendre aux jeunes que le bonheur est accessible en montrant l'exemple ?
Je vous raconte ici le blues que je ressens au moment de passer le cap des 60 ans. Je le prends comme l'ultime occasion de s'imposer dans un monde professionnel que nous sommes sur le point de quitter, alors que ma génération n'a pas eu la chance de se plonger dans une carrière comme les hommes l'ont fait.
Après 50 ans, la vie peut paraitre terne et décevante. Le meilleur semble derrière soi. C'est le moment d'identifier sa force vitale, de retourner sur un terrain fructueux qui nous convient au plus profond de notre être, pour repartir de l'avant.
Les regrets existentiels, ceux qui marquent la vie, nous aident à nous définir et à révéler la vérité de notre personnalité et de notre place dans le monde. Voyons comment en tirer le meilleur parti en tant que femme quinqua.
Le bonheur serait le résultat d'un concours de circonstance qui amène une grande satisfaction. Comment créer ce hasard qui va nous bénéficier ? Oui, on peut agir sur son quotidien pour être heureuse, voyons comment dans cet article.
Féminisme, patriarcat, empowerment, charge affective, voilà un vocabulaire assez récent devenu grand public. Il décrit le rôle des femmes et leur place dans la société. regardons comment cela nous affecte, nous les quinquas.
Faire son récit de vie, son pitch personnel, son autoportrait, son parcours existentiel... son autobiographie, est souvent révélateur : on découvre souvent autre chose que ce qu'on s'imaginait. Retrouvez de la cohérence en vous attaquant à ce sujet passionnant.
La croyance en un destin inéluctable nous emporte et peut nous mener loin... ou nulle part. Dans cet article très personnel, je vous raconte comment une croyance, une éducation et une expérience se cumulent pour nous montrer la direction de la vie, celle que nous construisons.
Valeurs et adaptation peuvent sembler des actions antinomiques, et pourtant les quinquas s'en abreuvent de façon simultanée. D'une part on conserve ses normes et son éducation, et d'autre part on les rejette pour passer à celles d'un autre milieu. Comment s'y prendre sans y laisser son intégrité ?
La crise de la cinquantaine chez les femmes est à la croisée d'une transformation physique (ménopause), affective (départ des enfants, déclin des parents) et sociale (questionnement professionnel, quête d'amitié). En plus du reste. De multiples facteurs crée cette impression d'être à un carrefour majeur de sa vie. Cet article est très long et fait un tour complet de la question.
Faire le point sur sa vie, c'est avant tout définir de quelle vie on parle. Donc de circonscrire la période dans laquelle on va se plonger. Mettre des bornes, pour mieux faire le point, et profiter au mieux de cette étape dont l'on veut tirer parti. Vers 55 ans, soyons pratique et concrète, pour mieux avancer.
Comment changer de vie ? J'ai souvent abordé ce sujet dans ce blog, mais il est tellement riche que je reviens encore dessus. Il faut d'abord distinguer soigneusement ce que l'on veut modifier, puis les outils que l'on possède pour agir. Mettez des mots précis sur ce que vous voulez, et prenez le temps d'acquérir ce qui vous manque.
Etre sans âge est un concept passionnant : on n'a pas l'air plus vieille ni plus jeune, on a juste l'air bien en vie, pleinement dans l'action. C'est être conforme à ce que nous sentons que nous sommes, et à ce que les autres perçoivent de nous. Faisons le point sur notre âge.
L'image des femmes quinquas est en train de changer. On n'est plus jeune, on n'est pas encore vieille. C'est cet "entre les deux" qui nous force à nous positionner et à choisir ce que l'on veut communiquer, en termes de classe d'âge. On a des atouts pour le faire, voyons lesquels.
Melinda Gates se sépare de son mari et va devenir la femme la plus riche du monde. Mais ça n'est pas le plus important. Elle fait partie de cette vague de femmes cinquantenaires qui choisissent la liberté et le pouvoir une fois que leurs enfants sont partis. Faisons le point sur l'empowerment des quinquas.
On n'est pas UNE femme de 50 ans. On est de multiples personnes à la fois. On est aussi à un vrai croisement, qui se manifeste sur le plan physique par la ménopause. Regardons-nous dans un miroir quelques minutes, pour mieux nous identifier et nous reconnaitre.
Vous avez autour de 50 ans, vous avez élevé vos enfants. Vous naviguez tant bien que mal dans la ménopause et vous réalisez que, enfin, il est l'heure de penser à votre avenir. Et de mettre en oeuvre ce que vous n'avez jamais osé faire. Trouvez confiance en vous et débutez une nouvelle étape de votre vie !
A chaque étape de la vie correspond un changement, souvent profond, auquel il faut s'adapter. Les femmes ont la particularité de vivre la maternité, impliquant l'arrivée puis le départ des enfants. Vers 50 ans, comment faire en sorte de repasser de mère à femme, et de poursuivre ainsi pour longtemps ?
Un changement de vie, un vrai : la pandémie et les confinements ont révélé ce besoin fort chez de nombreuses femmes. Qui réalisent combien l'organisation de leur existence actuelle ne tient qu'à un fil. Examinons nos motivations en profondeur, pour déterminer si on est prête ou pas, ce qui nous manque et comment le trouver.
La crise existentielle se produit à un moment bien particulier, celui du milieu de vie, quand les enfants partent et que la ménopause déboule. On sent un énorme besoin de renouveau, de réajuster sa vie, mais l'énergie nécessaire parait introuvable, ou hors d'atteinte. Qu'est-ce que cette crise, comment la surmonter ?
Trouver sa raison d'être à 50 ans procure une immense satisfaction, profonde et durable. Avancez sur cette voie en suivant la méthode japonaise de l'Ikigai, qui consiste à déterminer nos besoins fondamentaux, à les croiser entre eux, et à comprendre les zones d'ombre qui nous laissent sur notre faim.
Qu'est- ce qui nous tient en vie, qui nous fait avancer malgré les difficultés et les déceptions ? Qu'est-ce qui nous motive, au delà du train-train quotidien ? Trouver et formuler un sens à vie vie est essentiel après 50 ans, quand les enfants nous quittent mais qu'il nous reste beaucoup à faire et à donner.