Les mères de famille ont acquis des compétences transférables en situation professionnelle

Ça y est. Votre petit dernier est sur le départ. Et voilà : vous êtes au chômage. Vous avez travaillé pendant 10 ou 20 ans à construire votre famille et aujourd’hui vous vous retrouvez sans emploi… au moins au sein de votre foyer.

Et comme vous avez toujours été occupée, vous n’envisagez pas un instant de ne rien faire. Si vous n’avez pas d’activité rémunérée, nous voulez retrouver un travail à la hauteur de vos compétences, pendant la décennie à venir. Et de nouveau gagner votre vie, ou augmenter vos revenus, et apporter votre contribution au budget familial. Mais un doute vous tenaille : êtes-vous capable de retravailler ?

La plupart d’entre vous exercent déjà une activité à l’extérieur mais souhaitent se reconvertir ou évoluer, en s’adaptant à leur nouvelle situation familiale. Là-aussi, vous gagnerez à déterminer à ce que vous appris directement chez vous, au contact avec vos enfants, vous appliquer vos savoir-faire dans un cadre professionnel.

Jugez-en par vous-même avec ce guide des 10 compétences professionnelles des mères de famille, au foyer ou pas. Je me suis beaucoup amusée à confectionner ce guide, qui a été complété au fur et à mesure par les unes et les autres. N’hésitez-pas à apporter votre idée vous aussi. Les compétences des mères de famille, qui travaillent à l’extérieur ou pas, sont absolument transférables dans de nombreuses situations. Profitez-en !

1- Le boulot, ça vous connait

1- Regardez-vous honnêtement

Justement, qu’avez-vous accompli de tangible ? Qu’avez-vous appris au cours de votre vie de mère qui puisse être réutilisé dans la vie professionnelle « normale », en dehors de votre foyer ? Vous avez l’impression que l’on vous perçoit comme une personne inactive – c’est en tout cas l’adjectif qui vous qualifie auprès des pouvoirs publics si vous ne travaillez pas.

Et même si vous avez conservé un emploi, souvent vous n’avez pas la sensation d’avoir fait carrière. C’était plutôt pour assurer un complément de revenu à la famille, vous échapper des cris des enfants, penser à autre chose et ne pas perdre vos points de retraite.

Pourtant, vous savez très bien que vous avez été organisée, débrouillarde et énergique. S’il y a quelqu’un qui n’est pas inactif, c’est bien vous ! Même si pour certaines, la vie de mère de famille a pu être subie et donner l’impression de perdre son temps.

Vous connaissez toutes vos qualités professionnelles lorsque vous êtes assise à votre bureau, car partout on vous a appris à les identifier. Vous savez quels logiciels vous maitrisez, votre niveau de langue, votre capacité à gérer un service, à innover ou à trouver de nouveaux clients. Mais que savez-vous des compétences réelles que vous tenez de vos années de mère, de gestion de la vie domestique et familiale ? C’est là-dessus que nous allons travailler maintenant.

C’est le moment de lire mon grand article, très complet, qui vous aidera à trouver l’activité qui vous convient le mieux : Trouver sa raison d’être à 50 ans : la meilleure piste

2- Regardez-vous différemment

Mais pour d’autres, l’épanouissement professionnel a été réel. Vous avez progressé, vous avez capitalisé, vous avez innové, et au fil des années vous êtes devenue une experte.

Vous sentez aussi que vous allez devoir lutter contre la vision que les autres, ceux et celles qui estiment travailler « vraiment », se font de vous.

Parfois il s’agit d’autres femmes de votre âge, qui ont mis un point d’honneur à ne pas vous ressembler, à minimiser les tâches domestiques et à avoir l’air « professionnelles », indépendantes et socialement accomplies. 

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2- C’est le monde extérieur qui ne vous connait pas

1- Vous faites un travail réel

 « Ils » vous croient transparente, alors que vous êtes bien réelle et que vous abattez un travail nécessaire et utile, sans lequel le monde ne tournerait pas.

Alors que, pensez-vous, il y a des tas de personnes dont le travail n’a aucun intérêt et pourrait parfaitement être supprimé sans qu’une seule parcelle du monde ne change.

 « Ils » pensent que les seules personnes qui travaillent sont celles qui gagnent leur vie, qui récoltent de l’argent, qu’elles soient salariées ou indépendantes, déclarées ou pas. C’est votre paradoxe-fardeau, celui de la mère de famille consciencieuse, mais qui n’est pas payée. 

Bosser gratuitement, il n’y en a pas beaucoup qui se satisfont de cette situation. Mais vous saisissez bien le concept du partage de l’argent dans le couple et des finances partagées, cela vous conforte dans votre choix. Ou pas ?

2- Vous faites un travail utile

Mais on peut parier que si les mamans qui choisissent d’élever leurs enfants étaient normalement rémunérées, il y aurait beaucoup plus de femmes qui choisiraient ce métier. Elles se formeraient de façon adéquate, se fixeraient des objectifs et des échéances, et bien entendu compareraient leurs résultats en tâchant de les améliorer… comme on le fait dans n’importe quelle profession.

Imaginez ? Vous êtes non seulement payée pour faire votre job, mais vous accumulez des points retraite et des droits au chômage. Et même des vacances. Vous pouvez faire des bilans de compétences, prétendre à la validation de vos acquis et reprendre des études.

Et les hommes aussi, peuvent le faire. D’ailleurs ils sont drôlement intéressés par ce parcours qui leur a toujours échappé, puisqu’ils ne pouvaient pas se soustraire à l’idée de gagner de l’argent sonnant et trébuchant.

Pour compléter ce thème, lisez mon grand article consacré à la reconversion des femmes qui ont élevé leurs enfants.

3- Vous faites un travail évolutif

Mais trêve de plaisanterie et retour ici-bas. Vous avez appris le boulot sur le tas. Vous avez évolué en même temps que les enfants dont vous vous occupiez. Vous êtes régulièrement montée en grade, au fur et à mesure que vos fistons bouclaient le CP et passaient le brevet. Vous avez géré une équipe, nuit et jour. Au final, vous êtes devenue une pro de votre secteur.

C’est normal, en bossant à fond pendant 20 ans sur son sujet, on le maîtrise vraiment. D’ailleurs, notre objectif n’a jamais d’atteindre la perfection mais la maitrise, ce qui est beaucoup plus constructif. On ne veut certainement pas passer pour la mère idéale, c’est contre-productif.

Lisez mon article sur la capacité de leadership directement issue de l’accompagnement de vos enfants dans la vie, et réutilisez-la dans une autre profession.

Toutes les femmes au foyer n’ont pas atteint ce stade, évidemment. Et réciproquement, nombreuses sont celles qui travaillent à l’extérieur qui s’y sont employées. L’intérêt pour le foyer et l’éducation n’est pas donné à tout le monde. Pourtant il faut produire un vrai effort pour s’y investir et y réussir – un double effort lorsqu’on est employée à l’extérieur.

3- Puisque le monde extérieur ne vous reconnait pas, faites-le vous-même

1- Changez votre image

Vous vous préparez à entrer dans une nouvelle carrière, même si vous ne savez pas encore laquelle. Félicitations ! Vous avez raison, les mères de famille ont de vraies compétences, qu’elles travaillent ou pas à l’extérieur !

Et comme tous ceux qui changent de parcours, il va falloir réapprendre les codes. Transformer votre façon de voir, accepter de nouvelles conditions que vous n’auriez pas envisager avant. Ce processus est particulièrement important pour les femmes au foyer, comme on va le voir maintenant.

Avant toute chose, et surtout avant de s’attrister ou même de se lamenter sur l’image que vous pensez avoir auprès de votre entourage, il est temps de récapituler vos compétences et vos savoir-faire. Une fois ce travail fait, on pourra examiner comment vous pouvez transformer la vision que vous avez de vous-même et l’expliciter auprès d’un public que vous connaissez peu (et réciproquement).

Au sujet de votre image de quinqua, je vous recommande la lecture de mes deux articles : bâtir sa réputation, en public et en privé et c’est autre l’image des femmes de 50 ans : à nous de la choisir !

2- Changez votre statut

Car vous allez non seulement changer de métier mais également changer de statut. 

C’est un double processus, qui demande logiquement deux fois plus d’efforts. Mais vous êtes une femme au foyer – mère de famille, vous êtes la reine du multi-task, vous en avez vu d’autres. Et vous n’êtes pas la première à effectuer ce virage ! Courage, retroussez-vous les manches comme vous savez si bien le faire.

Lisez ici mon grand article sur le syndrome de l’imposteur des femmes qui retravaillent. Je vous le conseille même si vous travaillez déjà : il fait le point sur notre situation à nous, les femmes de 50 ans et plus.

4- Les 10 compétences professionnelles des mères de famille, au foyer ou pas

1- Les compétences acquises en éducation

Il s’agit de l’ensemble des connaissances intellectuelles, culturelles et morales que vous transmettez à vos enfants. Il faut réfléchir un bon moment avant de pouvoir formuler précisément ce que l’on a vraiment voulu faire sur le plan éducatif. Mais rétrospectivement, une fois que c’est terminé, on y voit plus clair.

Sur ce point et en partie, vous exercez en tandem avec les enseignants, au mieux vous leur facilitez le travail. Mais eux, leur spécialité c’est d’abord d’instruire, vous d’éduquer.

  • Dans la catégorie « éducation », de soi et des enfants, on place évidemment la pédagogie.
  • Mais aussi la patience et la maîtrise de soi, le sens de l’observation, la mise en perspective, la capacité d’intéresser, d’expliciter, de comparer et de corriger. 

2- Les compétences acquises en résolution de problèmes

C’est votre grande spécialité : vous savez trouver les vraies causes, mettre en place les bonnes solutions et vérifier leur efficacité. Vous êtes celle qui montez n’importe quel projet avec des bouts de ficelles. Personne ne trouve de tutoriels sur Internet plus rapidement que vous. S’ils n’existent pas, vous bricolez ce qui est nécessaire avec les moyens du bord. 

  • Pour résoudre les problèmes, on s’appuie typiquement sur l’observation, la persuasion, l’adaptation, le dialogue, le sens de la mesure, le sens tactique, l‘ingéniosité et le choix d’outils adéquats.
  • Et bien sûr l’inventivité, le pragmatisme et la débrouillardise.

3- Les compétences acquises en encadrement

A la maison, vous êtes la chef. La vraie, même si vous avez laissé à votre mari la satisfaction d’annoncer lui-même les décisions. Vous savez décider et vous savez vous faire respecter et obéir. Enfin en théorie. Dans la pratique, il vous a peut-être fallu un certain temps pour asseoir votre pouvoir.

Si vous êtes une femme au foyer, la longueur de temps passé au contact de vos enfants vous a vraiment aidé. Vous avez eu beaucoup plus d’occasions de mettre en œuvre calmement vos principes que des parents débordés par leur travail, tentés de prendre des décisions expéditives et arbitraires pour obtenir la tranquillité.

  • Encadrer ne veut pas seulement dire diriger, mais faire en sorte que tout le monde suive une ligne commune selon ses capacités et sa mission. C’est un art subtil qui réclame de l’autorité morale et l’affirmation de valeurs claires, la capacité de discernement, d’équité, d’arbitrage, et de pouvoir décisionnel, le tout s’appuyant sur une stratégie à long terme. 
  • Savoir déléguer, faire faire, en acceptant les erreurs comme des étapes de progrès – alors que parfois c’est tellement plus simple de faire soi-même.

4- Les compétences acquises en gestion du temps

Vous avez suivi pendant des années le calendrier scolaire de chaque membre de votre progéniture. Vous avez encore en tête quel prof faisait toujours grève, les dates des compétitions de judo et les deadlines sur Parcoursup. Les mères qui travaillent, en particulier, sont de grandes professionnelles de l’organisation, bien que la dose de stress occasionnée puisse être considérable.

Vous avez planifié les achats d’habits, les rendez-vous médicaux, les vacances, les goûters d’anniversaires, la surveillance des malades, les vaccinations, et toutes les activités du mercredi, y compris les transports. Aucun changement de dernière minute ne vous fait peur, vous êtes juste super habituée.

  • Gérer son temps et celui des autres demande une réelle souplesse mentale.
  • Sans compter des capacités d’anticipation et de prévision, le respect des dates limites, la négociation des délais, la réactivité à l’imprévu et bien sûr la fiabilité et la ponctualité.

5- Les compétences acquises en soins physiques et émotionnels

Être au contact d’un enfant blessé ou malade peut déclencher en nous tout un tas d’émotions concomitantes et contradictoires : inquiétude, paralysie, énervement, compassion, précipitation, questionnement, panique, culpabilité, etc.

Comme pour tout, on apprend à se contrôler et à prendre du recul au fil des expériences. La peur qu’il souffre, parce qu’il a mal ou parce qu’il se sent mal, fait place aux automatismes des premiers secours. On sait quoi dire et quoi faire en urgence et en autonomie.

  • Prodiguer des soins réclame du sang-froid et de dompter sa nervosité, de combiner rapidité et économie de gestes, fermeté et douceur.
  • Bref, il faut s’imposer pour dominer la situation et rassurer son interlocuteur.

6- Les compétences acquises en organisation des repas

Quand quelqu’un interroge « qu’est-ce qu’on mange à midi ? », voici ce qu’il y a derrière :  

  • Gérer un budget,
  • S’approvisionner,
  • Choisir à l’avance des aliments (nutritifs),
  • Renouveler ses stocks et reconvertir les restes,
  • Trouver l’inspiration en variant les idées,
  • Utiliser de multiples techniques de préparation des ingrédients, de cuisson et d’assaisonnement,
  • Mettre le couvert,
  • Appeler à venir se mettre à table,
  • Servir les petits,
  • Apporter les plats les uns derrière les autres,
  • Veiller à ce que chacun mange,
  • Faire la conversation,
  • Dénouer les contrariétés et les dégoûts éventuels,
  • Ranger,
  • Laver et…
  • Recommencer le soir même. 

Concevoir et confectionner 700 repas par an épate tous ceux qui ne font pas la cuisine.

  • Diviser le travail en de mini-tâches distinctes les unes des autres, que l’on optimise pour améliorer le résultat, et gérer efficacement un rétroplanning, c’est l’essence de l’organisation, et de la cuisine.
  • Aucun doute là-dessus : les mères de famille sont de grandes spécialistes de la thématique, surtout celles qui sont au foyer qui y passent plus de temps.

7- Les compétences acquises en psychologie

C’est la fameuse intelligence émotionnelle. Elle consiste à percevoir et prendre en compte les sentiments et les émotions des autres pour obtenir leur confiance et leur implication dans un projet. Cette dimension est fondamentale dans tout travail de personne à personne ou d’équipe. Et de la famille à l’entreprise, il n’y a qu’un pas.

  • La dimension psychologique demande beaucoup de pratique et d’humilité pour être maitrisée, il est facile de faire des faux-pas dans ce domaine (même pour les femmes, qui sont supposées être des expertes), avec ses enfants comme avec ses collègues, ses clients ou son boss.
  • Mais les qualités obtenues sont très recherchées dans la sphère professionnelle où le contact prime : écoute, empathie, soutien, motivation, sensibilité, capacité à se mettre à la place d’autrui.

Pour compléter ce concept, lisez ici mon article sur l’art de donner des conseils.

8- Les compétences acquises en divertissement

Amuser la galerie, toutes les mamans apprennent à le faire. Dessiner des oeuvres d’art intemporelles, improviser des jeux ou des spectacles pour couper court à l’ennui et aux disputes, inventer, innover, créer…

Le savoir-faire, c’est de retourner une situation déplaisante en une situation stimulante, tout en construisant une cohésion de groupe. On s’appuie sur les ressorts de la créativité, qui consistent à réutiliser des éléments déjà connus dans un nouveau contexte.

  • Les activités « de loisirs » utilisent abondamment les cinq sens mais aussi l’intellect et l’esprit d’équipe. Les moments intenses qui sont partagés renforcent le lien entre les membres d’une famille, et par extension d’une entreprise.
  • Le divertissement demande de s’occuper de deux concepts en même temps : on crée tout en pratiquant. Pour cela il faut allier créativité, humour, imagination et spontanéité avec la capacité de réalisation, de produire un effet. Des qualités qui sont bien plus professionnelles qu’elles n’en ont l’air.

Lisez aussi cet article dédié aux activités créatives

9- Les compétences acquises en socialisation 

Le rapport à l’autre préoccupe énormément les mères, qui ont peur que leurs enfants ne sachent pas vivre en société, ne soient pas acceptés ou ne sachent pas comprendre autrui. Mais contact et tolérance ne font pas bon ménage : comme les enfants se comparent aux autres pour se comprendre eux-mêmes, ce qui est différent ne leur plait pas forcément au premier abord.

  • La socialisation des enfants demande du doigté, et une combinaison de proactivité, d’ouverture d’esprit, d’absence de jugement et de confiance en l’autre.
  • Les mères qui travaillent utilisent souvent une panoplie de systèmes de garde, formels et informels, qui contribuent à une socialisation accélérée des enfants.

10- les compétences acquises en gestion de crise

C’est ce qui fait le plus peur aux non-parents, et même aux parents eux-mêmes : le débordement émotionnel incontrôlé. La clé ici est d’anticiper pour ne pas laisser les crises se déclencher, et de décoder le langage corporel et les sensations au moment où les enfants les vivent.

  • Pour éviter les colères et larmes, on s’appuie donc sur un sens aiguisé de l’observation et du dialogue. Pour les gérer quand elles arrivent, il faut aider l’enfant à contrôler son corps et à reprendre possession de ses moyens, en étant à la fois calme, ferme et sécurisant. Ces qualités sont fondamentales dans une situation professionnelle.
  • Patience et longueur de temps sont indispensables pour éviter que les contrariétés et les discordes ne dégénèrent. Sur ce point, les mères au foyer sont privilégiées, si elles en saisissent l’occasion.

Pour compléter ce tour d’horizon, voici quelques articles complémentaires qui vous permettront de passer à l’étape suivante et de vous lancer (ou changer) dans une activité professionnelle : Comment passer de femme au foyer à entrepreneure ou encore Femme d’expatrié, quel projet au départ des enfants ? également Mère au foyer, préparez-vous au retour au travail

J’espère que ce récapitulatif vous aura aidé ! Pour le compléter, inscrivez-vous à ma newsletter. Je me lève tôt tous les dimanches pour l’envoyer. Elle est pleine d’énergie et de créativité, pour vous aider à vivre mieux vos années d’après 50 ans !

Ce blog est entièrement consacré aux mères d’une cinquantaine d’années qui ont besoin d’une renouveau personnel et/ou professionnel : ménopause, départ des enfants, acceptation du changement, alimentation, sport, orientation professionnelle, relations amicales et conjugales, vieillissement, image sociale… je traite de tous les sujets qui nous préoccupent au quotidien ET sur le long terme. Consultez les articles qui vous intéressent ici.

5- Les compétences des mères de famille : le récapitulatif

  1. Education : être pédagogue, transmettre les connaissances
  2. Résolution de problèmes : chercher les causes, mettre en place les solutions
  3. Encadrement : décider, déléguer, se faire respecter
  4. Gestion du temps : anticiper, réagir à l’imprévu
  5. Soins physiques et émotionnels : se contrôler, soigner, agir vite
  6. Organisation des repas : diviser le travail, gérer un rétro-planning
  7. Psychologie : être emphatique, motiver, soutenir
  8. Divertissement : créer, improviser, alléger l’atmosphère
  9. Socialisation : apprendre la tolérance et à collaborer
  10. Gestion de crise : self controle, art de dialoguer

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Et vous, vous avez des idées sur les compétences des mères de famille ?

Les compétences professionnelles des mères de famille vous intéressent ? Partagez vos idées dans les commentaires. Soyez inspirée et créative, pour que nous puissions toutes en profiter et avancer dans notre parcours. Et si vous voulez que je fasse un article séparé sur un sujet qui vous chagrine ou qui vous passionne, dites-le moi !


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