Dur dur, de se retrouver novice alors qu’on est déjà mature ! Force est de constater la contradiction qui nous anime quand on cherche à séduire après 50 ans, tandis que l’on se place entre la nouveauté et l’expérience.
Il est plus facile de commencer une histoire d’amour quand on n’a pas d’antécédents que lorsqu’on en a, surtout si le passé n’a pas tenu ses promesses. Sinon on se remet en question de façon exacerbée, à partir de nos références qui non seulement datent de plusieurs années à plusieurs décennies, mais qui ont mal tourné, d’une façon ou d’une autre.
Il faut donc se refaire une fraicheur, ouvrir son cœur et sa tête, et avancer à tâtons. C’est drôlement excitant et drôlement flippant, l’un prenant le pas sur l’autre selon notre personnalité et selon les circonstances. Pour séduire, il faut échanger une sensation électrique, partager un ressenti inhabituel et troublant. Car séduire est une action dynamique, alors que plaire est plutôt réceptive.
Quand on veut séduire, il faut donc se mettre en avant.
Et en valeur.
Dans cet article, on fait le point ce qui différencie les femmes de 50 à 60 ans des autres sur le terrain de la séduction. Il est temps d’identifier les atouts qui leurs sont propres et qu’elles peuvent, enfin !, mettre en oeuvre. Après 50 ans, la relation amoureuse consiste, plus que jamais, à ne pas décevoir l’autre et à ne pas se décevoir soi-même.
1- Qu’est-ce que séduire ?
Séduire possède deux sens, l’idéal étant bien sûr de les combiner : d’une part susciter l’envie/l’estime, d’autre part attirer vers soi (par exemple pour avoir des relations sexuelles… ou plus prosaïquement pour vous vendre une voiture). En d’autres mots, on éveille l’autre, puis on le magnétise. Il y a bien plusieurs mouvements dans cette activité qui a l’air un peu magique pour celles et ceux qui ont l’impression d’être sans charme : piquer l’intérêt, nouer un lien, s’approprier. Séduire, c’est un peu comme la pêche à la mouche, en fait.
Et là-dessus, en matière de relation amoureuse, il faut faire en sorte que ça soit réciproque !
La séduction est une des relations les plus fascinantes à observer chez les animaux et chez les humains (d’ailleurs la séduction n’est pas très éloignée de la fascination, voire de l’emprise sous ses aspects dangereux). J’adore contempler les parades nuptiales, cela relativise l’incongruité de la sexualité et permet de comprendre pourquoi ce désir de plaire est fatal, irrésistible, et parfaitement normal. Qu’est-ce qu’on met comme effort pour susciter l’intérêt d’autrui, puis (encore plus dur) le retenir.
Je ne peux m’empêcher de penser que si la séduction nous parait relever du « devoir humain », c’est que justement elle est vitale. Non seulement pour la reproduction et la perpétration de l’espèce, mais pour notre identité en tant qu’individu dans un groupe. Tout le monde a besoin de donner le meilleur de lui-même, esthétiquement parlant, pour se montrer, et donc être vu. Mais on verra que les yeux ne sont pas les seuls sens impliqués dans l’attrait, à n’importe quel âge d’ailleurs.
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2- Pouvoir des sens et séduction à 50 ans
Charmer, plaire, envouter, se faire remarquer, séduire, conquérir… tout cela se fait grâce à nos cinq sens. Mieux séduire, c’est mieux utiliser ces sens. C’est une chance, oui, une chance !, que nous soyons désormais plus âgées que nous sachions mieux comment nous servir de ces antennes physiques. (Lisez par ailleurs mon article dédié au vieillissement et aux cinq sens).
La vue
Regarder, donc, compte avant tout. On repère une démarche, un sourire, un geste, une allure, mais aussi de parties précises du corps. Les femmes sont attirées avant tout par le torse masculin, tandis que les hommes se focalisent, dans l’ordre, sur les fesses, les seins et les jambes.
Pour plaire, il suffirait donc aux hommes de faire un peu de musculation, alors que nous on va chercher à s’améliorer de partout. Tout ça c’est du travail, mais vous noterez qu’il ne s’agit pas de gommer ses rides ni de botoxer sa bouche (c’est surtout pour supporter le regard des autres femmes qu’on le fait). Les hommes eux, n’en demandent pas tant. Reste que décidément, nous avons des tas de raisons de nous sentir obligées d’être continuellement vigilantes, hyperconscientes de notre look et de notre style).
La voix
La séduction met en œuvre tous les sens, l’objectif étant de se montrer le plus attractif possible. On en prend plein les yeux mais aussi plein les oreilles. Le son, la force ou le rythme de la voix compte énormément dans l’attrait. Certaines personnes expriment au travers de leur voix une sensualité incroyable, une force de conviction, une assurance qui nous envoute. Parfois, ces sons ne parlent qu’à nous, l’heureuse élue, parfois ils traversent les ondes et résonnent à l’intérieur du corps de millions de personnes.
Parions que l’intelligence artificielle va s’emparer rapidement de ce sujet et créer de toutes pièces des voix divines, assortis de messages conçus eux-aussi par ordinateur, auxquels nous adorerons nous plier aux injonctions subtiles, très volontairement et avec enthousiasme. La voix est l’arme des gurus, et beaucoup de nos contemporains aimeraient apprendre à reproduire leur pouvoir…
L’odeur
Passons à l’odeur. L’industrie des parfums prospère sur l’espérance que les hommes et les femmes se reconnaitront olfactivement au cours d’une rencontre. Alors qu’en fait, c’est l’odeur de leur corps qui comptera le plus dans la confiance ou l’excitabilité que l’autre provoque en nous. D’où la déception quand on se retrouve au naturel avec un être dont notre nez n’aime pas l’haleine ou la sueur.
L’odeur est très intime et transporte la mémoire. On le voit quand les enfants souffrants se blottissent dans nos écharpes, ou quand nos larmes coulent quand on tombe par hasard sur un de leur vieux doudous qui avait disparu.
Le toucher
Mais le toucher l’est encore plus. Certaines personnes provoquent chez nous des réactions, littéralement, épidermiques, de surprise, de dégout, mais aussi de désir ou de tranquillité. L’Internet foisonne d’articles sur le sujet, écrits par des hommes pour des hommes, vous expliquant comment toucher l’autre de manière naturelle en réprimant des envies sexuelles trop explicites. Les femmes n’ont pas ce problème : si un homme leur plait, il suffit de faire un geste pour le toucher, par exemple de prendre sa main. Ça marche à tous les coups.
Car l’un des problèmes de notre société si méfiante sur le plan physique, c’est qu’en dehors de la bise du matin, de la main encourageante sur l’épaule et de la poignée de main post-réunion, on a peu l’occasion d’être en contact physique avec autrui. (En aparté, je répète ici que ce qu’est un des grands plaisirs de la parentalité : caresser des tout-petits est tout aussi important pour eux que pour nous, car le toucher est à la base de la confiance humaine – et cette confiance primale ne se révèle parfois que le jour où l’on devient mère).
La plupart du temps, toucher un quasi-inconnu est vécu comme une forme d’agressivité et circule aux confins de l’attirance et de la peur. On est donc mal à l’aise avec ça, même avec d’autres enfants que les nôtres, même avec les personnes âgées. Même l’effleurement sans invitation explicite est un peu malsain, voire franchement intrusif, particulièrement dans cette période post #metoo.
Sur ce sujet, mes expériences d’expatriation m’ont beaucoup appris – en l’occurrence qu’on ne connait jamais vraiment personne tant qu’on n’a pas pris la liberté de la toucher. Je ne parle pas ici de connotation sexuelle, mais de connaissance d’une façon générale.
En tant que Française, j’ai adoré vivre aux Etats-Unis, où l’on adore délivrer ces grands « hugs », des embrassades au sens traditionnel du terme. Peut-être que ce sont ces hugs qui rendent les Américains si à l’aise en public ? En Allemagne, j’ai trouvé le contact nettement plus froid, mais avec un grand besoin des habitants de rompre cette glace inconfortable avec laquelle ils ont grandi. Quand on franchit le mur de la distance et qu’on prend l’initiative d’un geste affectif, on sent un vrai soulagement de leur part.
Le goût
Le goût, c’est ce qui distingue l’amour amical de l’amour sexuel. On a beaucoup associé le désir et la consommation, le corps de l’autre devenant une nourriture fatale qui nous donne une force unique, inaccessible par un autre canal. Sur cette question, je vous renvoie sur ce conte extraordinaire et très court d’Alphonse Daudet, la chèvre de Mr Seguin, et en particulier sur la dernière phrase, qui sonne si fort et si juste.
3- Que faire quand on n’aime pas draguer ?
J’ai prononcé le mot qui fâche. Draguer, ça n’est pas pour nous, les femmes quinquas. Sauf que parfois, c’est impératif, quand on a envie de se sentir puissante et souveraine (par exemple aux alentours de 50 ans, vers la ménopause, lorsque le désir sexuel resurgit). Mais quand on n’est pas obsédée par un autre corps, une autre personne, draguer devient lourdingue, inélégant, voire un peu désespéré.
Draguer, c’est du vocabulaire masculin. Ça suppose de prendre les devants. Dans séduire, il y a une façon d’être attractif de manière à la fois active et auto-centrée : on attire vers soi. Un dragueur au contraire, a un comportement de conquête, lancé un peu au hasard. Il s’attaque à tout le monde ou presque, il n’a pas de préférence, c’est aussi pour cela qu’il est horripilant : il ne nous aime pas particulièrement, nous (il a surtout envie de se satisfaire, lui). Draguer, c’est aller à la chasse plutôt qu’à la pêche.
Par chance, on vit une époque riche et audacieuse sur le plan relationnel. Les codes basiques et binaires de notre jeunesse se sont drôlement élargis. Il ne s’agit plus pour nous de trouver un partenaire avec qui enfanter (ou avec qui décider de ne pas le faire, ce qui était beaucoup moins commun quand on avait 30 ans que pour nos filles et nos fils aujourd’hui).
Plutôt que de tenter de flirter bêtement, surtout si on se sent gauche et stupide, voici mon meilleur conseil : pour être sûre que son pouvoir de séduction va tomber juste, il faut surtout être bien dans sa peau. Il s’agit d’un sujet super sensible pour les femmes en pré ou post ménopause, qui traversent des tourments émotionnels et hormonaux.
Inspirer confiance est bien plus facile quand on a confiance en soi-même, sans trop en faire. C’est aussi manifester de l’empathie, en plus de l’intérêt, pour la personne de notre choix. Tout le monde n’est pas un expert en conversation amoureuse, loin de là, mais tout le monde doit démontrer, d’une façon ou d’une autre, qu’il aime réellement se trouver en sa présence.
4- Les immenses avantages de chercher l’amour après 50 ans
Il est plus simple désormais de développer, des amitiés ou des aventures qui déboucherons, ou pas, sur une histoire amoureuse.
- C’est plus facile d’une part car on est plus âgée, et que l’amitié devient prépondérante, pour les femmes comme pour les hommes, une fois qu’on ne peut plus se reproduire, que la famille s’éclipse ou que le couple se disloque.
- C’est plus facile aussi car l’époque a changé. On est plus libre, plus expérimentée sur le plan intime et sensuel. Ou bien plus désireuse d’obtenir une liberté d’expression sexuelle si on ne l’a jamais atteinte avant.
- De plus, on est plus consciente que le sexe peut être purement physique, ou que l’amour peut être purement platonique. On visualise mieux l’étendue de la pratique amoureuse ou conjugale, que l’on distingue de plus en plus l’une de l’autre.
- Il est possible que l’infidélité s’insinue dans notre couple, de notre fait ou du fait de notre conjoint, ce qui nous pousse à interroger en profondeur : est-ce une catastrophe ou pas ?
Bref, on se fait moins d’illusions, tout en étant davantage prête à passer à l’acte. « C’est aujourd’hui ou jamais, et tant pis si je me prends une claque. Après tout, je risque un rejet ou une déception, mais l’autre le risque tout autant que moi ». L’approche des anniversaires marquants, par exemple 50 ou 60 ans, nous donne une pression supplémentaire pour passer franchir le pas, sachant que l’on réalise que l’on a encore des dizaines d’années à vivre.
Cette période de 50 à 60 ans peut véritablement être vécue comme une deuxième jeunesse, en mieux. J’ai beaucoup écrit sur ce sujet, et pour résumer, je répète ici ce qui semble être des banalités :
- On se connait bien et on ne se compare plus aux autres, on sait de quoi on a envie ou pas, et de quoi on est capable ou pas,
- On a une meilleure évaluation de l’importance des choix et des habitudes sur le long terme et de leurs conséquences,
- On saute sur l’occasion d’utiliser le court terme pour nous requinquer, de s’offrir des moments et des actes spontanés dont on limite la portée, dans le temps et dans l’espace.
5- La séduction ne consiste plus à tricher mais à s’assumer
Autrement dit, on se débrouille mieux avec l’évolution de notre existence, et on sait où placer la case « séduction » sans s’emmêler les pinceaux. On est plus authentique, c’est le mot principal de cet article, tout simplement car on s’est testée soi-même pendant des lustres. On est aussi plus entreprenante, car cette fois on l’a bien compris : c’est en initiant les événements qu’ils pourront un jour se réaliser dans la pratique.
Étant sincère et naturelle, on attire des hommes qui ont également fait ce chemin de la connaissance de soi couplé à la connaissance des autres. On ne se sent pas obligée de porter des talons ou des jupes courtes pour séduire si on n’en porte jamais, car si c’est ça qui plait à notre « date », il va forcément déchanter – et nous aussi. Si on aime s’habiller sexy, on le fait avec joie, pas en craignant d’être prise pour ce que l’on n’est pas.
On s’assume. On s’affiche plus nettement, plus clairement, avec grâce et avec goût. C’est vraiment le moment de porter ce qui nous va bien, de valoriser nos atouts, de choisir une attitude de confiance sereine, d’afficher notre charisme … et de sourire à la vie qui s’étale devant nous.
Le soin attentionné de notre corps nous aidera beaucoup, car évidemment la dimension corporelle et sensuelle de la séduction est immense. Cela concerne les femmes mais aussi les hommes, l’objectif étant d’aligner ce que l’on projette à ce que l’on est, en vrai. Séduire n’est pas mentir, ni tricher, c’est le contraire : s’assumer telle qu’on est. Etre authentique est désarçonnant et attendrissant, et c’est bien cela qui émeut.
La séduction après 50 ans, c’est une deuxième chance. Celle de s’épanouir enfin sur le plan physique, émotionnel et relationnel. Alors si c’est ce qui vous manque, n’hésitez plus, profitez de l’opportunité qui se présente, peut-être qu’elle ne reviendra pas de sitôt. Que vous passiez par l’amitié évolutive ou par un coup de foudre passager, tracez votre voie et votre empreinte, jusqu’au bout.
La totalité de ce blog est consacrée au renouveau des femmes et des mères après 50 ans : ménopause, vieillissement, alimentation, carrière, amies, sexe… Je traite de la multitude de sujets qui nous préoccupent, sur une centaine d’articles. Mais avant tout, abonnez-vous à ma newsletter du dimanche matin : je me lève tôt pour vous donner des idées, du courage et de la joie !
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Et vous, quelle est votre stratégie de séduction à 50 ans et plus ? Et vos résultats ?
Racontez-nous votre expérience dans les commentaires pour que chacune puisse en profiter.
8 replies to "La séduction après 50 ans : de la crainte à l’authenticité"
Bonjour Véronique, je vous remercie pour cet article passionnant et très aidant. Une nouvelle fois, votre travail permet de voir sous un angle constructif et positif, une situation qui peut paraître très difficile, voire impossible, retrouver l’amour après cinquante ans. Alors que parfois on a oublié depuis des années la notion de séduction, pour pleins de raisons différentes parfois, en fonction des situations personnelles de chaque personne. Tout votre travail donne du courage et de l’espoir, et ça a un grand prix. L’envie d’essayer, d’aller de l’avant. Vos partages sont si intelligents et bienveillants, qu’on ne se sent plus seule et même accompagnée. Merci vraiment. Le toucher, est un sujet qui personnellement me passionne particulièrement. J’en ai expérimenté tous les bienfaits, à travers l’aide de la Ligue contre le cancer, avec la réflexologie plantaire par exemple. C’est fondamental pour retrouver une connexion de l’esprit et du corps et cela peut-être quasiment vital dans le cadre de certaines maladies. Merci vraiment. Bon courage et bonne continuation pour vos prochains articles. Très belle journée. Bien sincèrement. Marie Josée
Merci à vous, Marie-Josée, pour vos encouragements ! Se sentir séduisante après 50 ans, et surtout après la ménopause, demande parfois beaucoup d’énergie, de finesse et de patience. J’ai noté que cela concerne les femmes seules comme les femmes en couple, qui peuvent de sentir tout autant délaissées. Les hommes aussi, bien entendu, peuvent tout autant se sentir rejetés, inintéressants, et avoir tendance à en faire trop ou pas assez. Accepter la séduction, c’est accepter de considérer que son corps est attirant, vivant, qu’il envoie des messages relationnels forts, réels. En fait, qu’il est capable de s’accoupler, au propre et au figuré. Il faut prendre plaisir à se valoriser et se faire belle, sans se sentir dénaturée bien sûr, et accepter les conséquences. Car rencontrer quelqu’un, ça peut être le début d’un changement de vie. Est-on prête à le faire ? La séduction, c’est la manifestation concrète du désir d’être à deux, et c’est formidable à exprimer…
Merci également pour vos newletters du dimanche, qui sont toujours un rayon de soleil, qui apportent joie et partage. Toujours intéressantes et pleines d’esprit. Marie Josée
Merci encore !
Tellement vrai 🙂
Je viens de terminer le livre Là où chantent les écrevisses de Delia Owens, c’est un très beau livre si on aime la nature et liens qui nous unissent entre vivants et au vivant. Dans ce livre il est question, entre autres, d’amour, ce sentiment / besoin etc. avec des réflexions comparant les us et coutumes de certains animaux et la / les manières humaines dans ce domaine. Attraction, séduction y sont abordées et dans un contexte de nature.
Pour ce qui est de rester naturelle comme meilleure recette : la preuve que ça marche car pour ma part, c’est toujours avec étonnement ne l’ayant pas cherché que je tombais amoureuse et / ou me retrouvais aimée 🙂
Merci Christine ! Côté livre, et toujours sur ce thème de l’irrésistible attrait sexuel chez les animaux, je recommande « Le mur invisible » de Marlen Haushofer. Il ne s’agit pas du thème principal du bouquin, mais la dimension sensuelle et implacable de la nature y est omniprésente et extrêmement bien décrite.
Merci Véronique pour la référence de ce livre, je vais le chercher !
Il est publié chez Actes Sud, il me semble. Bonne lecture !