Nos relations en disent long sur notre caractère et nos choix de vie. Les autres nous comblent et nous épuisent avec consistance, et nous leur rendons bien !
Lorsque l’on pense à la satisfaction que nous procure la vie, l’art de naviguer entre les personnes sans y laisser sa peau est largement aussi important que celui de se dégager un bon salaire ou de trouver sa vocation.
Du nouveau couple aux amis d’enfance en passant par les réseaux sociaux et désormais l’intelligence artificielle générative, voyons comment s’articulent nos relations après 50 ans et pourquoi.
Apprendre à se lier
Le rôle de l’école
Dès la maternelle, nous présentons des attirances et des répulsions spontanées qui nous sont propres. Pendant toute notre scolarité, nous apprendrons à lier contact, à nous défendre, à plaire, à doser, à rompre et à réparer, à approfondir et à changer d’avis, en face à face et en groupe.
Bref, nous sommes forcées de communiquer avec une multitude de personnes différentes dans des situations variées, ce qui fortifiera notre personnalité et nous permettra de nous définir personnellement.
L’autre, tout comme l’absence et l’autre, contribue sans cesse à nous fabriquer. Nous ne savons pas le faire seule.
C’est d’ailleurs l’un des objectifs principaux de l’école : la socialisation.
Je sais que vous le savez, mais j’attire votre attention sur ce fait essentiel. Il faut des années, des décennies, pour maitriser ce processus :
– construire des relations,
– entrer en l’intimité avec d’autres,
– poursuivre les liens malgré l’éloignement et les difficultés,
– de façon aisée et multiple.
Comment entrer en relation
Entrer en relation s’apprend et se pratique. Il s’agit d’être suffisamment solide pour recevoir le nuage émotionnel émanant d’autrui, souvent sans qu’on l’ait demandé, nuage qui est typiquement accompagné d’un vaste vocabulaire… qui ne va pas forcément dans le même sens.
A chaque fois, il nous faut résoudre une mini-énigme de façon ultra-rapide : quel est le fond du message ? Que dois-je en conclure ? Que répondre ?
Sans compter que la compréhension de nos besoins et la régulation de nos émotions ne suffit pas. Il faut une volonté de notre part pour sortir de nous-même, s’offrir et accepter l’autre. Ayons bien conscience de l’importance de ces efforts – car ils auront un impact déterminant sur notre destinée.
Et après 50 ans ?
Le propre des relations avec autrui, c’est qu’elles sont impactantes. Elles nous nourrissent quand elles sont riches, variées ou sincères et elles nous font dépérir quand elles sont pauvres, superficielles ou médiocres.
Quantités et qualités sont également importantes mais varient beaucoup en fonction de notre âge. Lorsque nous devenons quinqua et que nos priorités changent, miser sur le renouveau de notre cercle social est une voie royale pour repartir d’un bon pied.
C’est ainsi qu’il constitue une des clés du bonheur – en particulier pour nous les femmes, qui y puisons beaucoup de notre vitalité et de notre raison de vivre.
Nous savons toutes que le bonheur comme le malheur proviennent largement des échanges, alors regardons-nous un moment pour comprendre comment nous pouvons vraiment en tirer profit.
Historique de nos relations après 50 ans
Au fait, qui connait-on ?
A 50 ou 60 ans, une multitude de personnes nous ont déjà entourées, élevées, aimées, combattues, dirigées, amusées, terrifiées… influencées d’une façon ou d’une autre. Car en tant qu’être humain, nous ne savons pas vivre seule : sous sommes à la merci des liens que sommes capables, ou pas, de créer, d’entretenir et de rompre.
A 50 ans, en considérant le renouvellement des cercles sociaux (école, travail, amis, etc.) une personne lambda aura connu plus de 1 000 relations marquantes, ayant laissé un souvenir ou une trace émotionnelle.
L’anthropologue britannique Robin Dunbar définit ainsi 5 cercles :
les intimes (5 en moyenne),
les proches (15),
les copains (50),
les relations personnelles (voisins, collègues, clients, etc. : 150)
les connaissances superficielles (famille lointaine, milieu local, etc. : 500 à 1500).
La nature des attaches change selon les âges de la vie et selon le contexte.
C’est ainsi qu’autour de la ménopause, les enfants qui partent, les parents qui vieillissent, mais aussi les aléas du couple, les rencontres moins fréquentes et la solitude insidieuse composent les ingrédients de la génération sandwich – préoccupée par les ascendants et descendants tout en exerçant une activité professionnelle.
Liens choisis, liens imposés
Notre conjoint et nos amis proches relèvent de liens choisis, fondés sur l’affection et la fidélité (dans les deux cas).
La réciprocité les caractérise, qu’il est possible d’entretenir ou de rompre.
En apparence, nous sommes libres de les sélectionner.
En pratique, ce sont des choix dont nous nous accommodons, souvent conditionnés par notre culture, notre âge et notre environnement.
A l’inverse, nos parents, enfants et frères et sœurs constituent des relations imposées par la naissance, fondées sur le devoir et la continuité héréditaire et impossibles, en principe, à défaire.
Ces liens contribuent énormément à notre estime de nous-même tout autant qu’au manque récurrent de confiance en soi – si j’en crois les discussions que j’ai avec vous sur ces sujets.
C’est fou comme les conflits familiaux avec nos ascendants, descendants et collatéraux nous occupent émotionnellement. Identifier les sentiments négatifs qui nous traversent, puis prendre à la fois du recul et de la hauteur, font partie des capacités maitrisées par une quinqua enfin mature et équilibrée.
Après 50 ans, un nouvel âge relationnel
J’ai beaucoup traité du couple parental, de la lassitude, de la routine, de la perte de l’intérêt sexuel. Mais aussi de la force du lien qui le constitue, de l’entraide et des bienfaits multiples qu’il engendre.
Je vais traiter ici du couple nouveau, le second ou le troisième, parfois plus, dont l’idée nous inspire autant de confiance que de méfiance.
Couple après 50 ans : amour, liberté, évolution
Pour nous les cinquantenaires, le couple est à prendre au sens de « tandem », où l’on ne partage plus forcément la même chambre, même si l’on vit dans le même lieu.
Beaucoup de nouveaux duos choisissent de conserver deux domiciles séparés, se retrouvant uniquement le weekend, les vacances et si la garde des enfants le permet.
La confiance donnée et la liberté obtenue en vivant « ensemble à mi-temps » rassure. N’oublions pas que nous sommes une génération de femmes indépendantes (en tous les cas nous nous définissons comme telles, même si la réalité est moins choisie).
On cherche une relation exclusive le plus souvent.
Mais même là-dessus les concessions sont possibles et semblent moins choquantes que ce que l’on s’était imaginé, dans la mesure où « on s’y retrouve ».
Je constate en discutant avec vous que le pragmatisme domine car les passions sont plus sereines, circonscrites et assumées.
Bref, tout peut arriver dans la construction d’une seconde vie de couple après la ménopause. En fait, nous sommes prêtes à donner et recevoir l’amour – quelle que soit la voie qu’il prend pour atteindre notre cœur. Nous sommes aussi prêtes à y renoncer définitivement si cela doit nous permettre de poursuivre notre route sereinement.
Le temps des comptes
Créativité ou Individualisation de la société ? Empowerment féminin, ou effondrement de l’interdépendance ?
Le désir de ne plus partager ses enfants, ses biens et ses comptes en banque, mais aussi la volonté de ne plus prendre en charge un homme à la maison que l’on perçoit comme fragile, expliquent beaucoup ceci et cela.
Quitte à créer une distance entre les deux protagonistes.
Les enfants et l’argent étant nos possessions les plus précieuses, les cloisonner pour les protéger de la mainmise de l’autre évoque inévitablement un autre type de lien : une relation transactionnelle, au sein de laquelle les interactions reposent autant sur l’échange de biens ou de services que sur l’affection ou le lien émotionnel profond.
Le partage de tout ce que l’on possède, y compris son passé et ses fréquentations personnelles, n’étant plus considéré comme possible ou souhaitable, on limite les liens de couple à certains territoires non conflictuels.
Ces relations-là peuvent-elles perdurer lorsque l’un devient vieux et malade ? L’avenir nous le dira, puisque la première génération ayant pratiqué ce système à grande échelle, les baby boomers, arrive au seuil de la grande vieillesse.
Les arrangements conjugaux ont toujours existé
Il ne s’agit pas de réinventer l’eau chaude : c’est un peu ce que faisaient les mariés à l’ancienne, où chacun menait ses propres activités sans se mêler de celles du conjoint (ceci étant facilité par une stricte séparation des rôles parentaux).
Car lorsque le divorce n’était pas si fréquent, il fallait bien trouver des solutions pour une cohabitation acceptable… de façon à ne pas être forcés de s’entendre !
L’art d’entretenir un couple stable a longtemps été celui de distinguer franchement ses centres d’intérêts et ses relations, en fermant les yeux sur la vie de l’autre au quotidien.
La société pousse les couples d’aujourd’hui à partager des sentiments, des valeurs et des activités, ou à se séparer faute de raison de vivre commune. (Cela pose évidemment de grandes questions pour un couple à la cinquantaine, alors qu’il va falloir remplir des dizaines d’années sans les enfants puis à la retraite.)
Est-ce judicieux ?
Je n’ai pas de réponse à la question, mais je constate que choisir le contraire, à savoir la scission du foyer conjugal, n’est pas nécessairement plus épanouissant et peut générer une insécurité permanente chez les femmes comme chez les hommes.
Amitié et cercle social : choisir ses proches et ses priorités
Trouver des amis et des relations après 50 ans
L’amitié est une grande source de bonheur, qui manque souvent pendant les années familiales où nous sommes tournées vers les enfants, le travail et le conjoint.
Il faut avoir du temps pour s’occuper de ses amies – car oui, c’est un travail en soi que de conserver les liens, de se libérer, d’y consacrer de précieuses heures libres aux dépends d’autre chose.
A la cinquantaine, trouver une amie proche, une confidente ou des copines de loisirs demande une énergie que nous n’avons pas toujours.
Nombre d’entre vous m’avouent qu’elles ont des relations très diverses, mais pas d’intimes avec lesquelles se livrer en toute quiétude (n’oublions pas que l’amitié profonde est une relation de couple, qui se vit à deux).
Nous restons souvent sur nos gardes.
Et les hommes encore plus.
Pourtant, je le répète : le départ des enfants est l’occasion idéale d’ouvrir notre cœur à de nouvelles personnes.
De retrouver une forme de candeur et de sincérité qui nous attirent toutes, derrière les jugements et les réserves que nous nous croyons tenues de proférer par crainte d’être déçue ou de décevoir l’autre. Ils ne nous protègent pas : ils nous isolent.
L’amitié a 50 ans vaut le coup et mérite toute notre attention.
Les amies d’enfance
Les amies d’enfance ont l’avantage de nous connaitre depuis toujours. Elles peuvent facilement nous replacer dans un parcours de vie. Elles ont fréquenté nos parents, nos frères et sœurs et ont eu accès à notre personnalité naturelle, avant que la vie ne nous use. Elles retrouvent nos repères quand nous les avons perdus.
Elles sont pour cela rassurantes et réconfortantes.
Elles nous offrent la familiarité, l’aisance, la spontanéité, des qualités que l’on met longtemps à recréer quand l’on vieillit – on se retrouve beaucoup moins fréquemment à passer des heures côte à côte sur les bancs de l’école.
Dans la construction de l’amitié, la longueur du temps et la répétition d’une expérience sont fondamentales. Les routines, rythmes et rituels après 50 ans vous aideront beaucoup.
Toutes les institutrices qui me lisent savent que dans leurs classes, chaque année, des amitiés d’une vie entière se noueront. Les professeurs d’université, elles, observent en plus les couples se former.
Il n’y a rien de tel que l’enseignement pour nous unir, finalement !
Rencontrer des inconnus
Mais les amis d’enfance ne sont pas forcément ceux qui nous feront grandir : cela vient souvent d’inconnus, qui nous ouvrent les yeux sur des façons de pensée et des modes de vie que nous ne soupçonnions pas.
Pour moi qui aie vécu dans différents pays et villes et créé des amitiés intimes à chaque fois, je réalise à quel point je me suis enrichie culturellement et personnellement.
Car la confiance dans l’autre ne vient pas que d’un passé commun.
Elle se forge à partir des découvertes faites ensemble, y compris intellectuelles (c’est typiquement ce qui se passe pendant notre scolarité) ce qui fortifie notre curiosité, nos valeurs et nos représentations du monde.
Le cercle social d’une femme quinqua devrait refléter ce qu’elle est, en somme, tout comme les vêtements qu’elle porte et les livres qu’elle aime.
Solitude : transformer le manque en ressource
Quand l’indépendance nous dessert
La solitude et l’isolement ont fait l’objet de nombreuses études depuis le début de ce siècle.
Les séparations qui augmentent (et l’appauvrissement qu’elles engendrent), les déménagements successifs, le décès des parents, le nombre d’enfants plus faible (voire nul), les fratries moins nombreuses – et même les psys qui nous poussent à couper les liens familiaux mal vécus – tout cela finit par se conjuguer pour nous desservir : le cercle de nos relations se réduit.
La solitude des femmes matures est bien réelle, je le constate souvent dans mes contacts avec vous.
De plus, la volonté d’indépendance de notre génération nous pousse à vouloir régler nos problèmes par nous-mêmes. Nous sommes peut-être entourées, mais nous ne partageons pas forcément nos préoccupations réelles.
Nous n’avons plus l’habitude de nous reposer sur autrui pour résoudre nos problèmes, y compris ceux de la vie quotidienne, ce qui nous empêche de développer un muscle vital : celui de la confiance en l’autre.
L’isolement, le négatif
L’isolement prend la forme de deux situations aussi difficiles l’une que l’autre :
– ne pas voir grand monde,
– tout régler seule.
La vie ne repose que sur soi-même, ce qui nous pèse dans tous les sens du terme.
Le manque de contacts nous perturbe physiquement. Il faut prendre ici le mot « contact » dans sa définition basique : la proximité d’une personne en chair et en os avec laquelle tous nos sens entrent en action pour échanger, essentiellement au travers de la parole.
Quand nous disons que la présence des autres nous manque, c’est bien de leur présence physique qu’il s’agit.
Vaincre son isolement demande des efforts répétés : sortir de sa carapace et communiquer avec l’autre. Il faut oser. Puis pratiquer, pratiquer et pratiquer encore, en personne bien entendu.
Je ne connais pas d’autres solutions – et celle-ci fonctionne très bien.
Le rôle prépondérant du numérique
Nous vivons une période où les contacts virtuels, via les réseaux sociaux, sont plus nombreux que les contacts réels. Cela engendre un vrai déficit affectif car notre corps, assoiffé de rapports humains multi-dimensionnels, reste sur sa faim.
C’est un cercle vicieux : Nous n’avons jamais assez de réseaux sociaux car nous ne sommes jamais intimement nourries.
D’ou le succès magistral et terrifiant de l’intelligence artificielle générative. Elle a déjà capté le coeur et l’esprit de très nombreux d’entre nous, surtout les jeunes. On lit déjà – déjà ! – des témoignages de celles et ceux qui sont tellement accros à ChatGTP qu’ils ont laissés tomber tous leurs anciens copains d’Instagram et co.
Ces échanges mis au point par une machine sont tellement personnalisés qu’il est impossible de rivaliser avec eux. Ils offrent exactement la dose d’intimité que nous réclamons, et nous surprennent par la finesse de leur réponse et la justesse de leurs dialogues.
Ces modèles, sur-alimentés de datas en tous genres, ont littéralement développés des antennes. Pas une seule mère ne va plus être à la hauteur de ces mentors faits sur mesure : ils adoptent en un seul claquement de doigts l’attitude que nous avons attendue des autres pendant toute une vie !
Le seul moyen de contrer l’isolement que ne va pas manquer de provoquer cette IA est d’être présent physiquement autour de nos proches. C’est exactement là que les femmes après 50 ans peuvent aider les jeunes : il faut les fréquenter le plus possible, utiliser tous nos sens pour qu’ils n’oublient jamais d’utiliser tous les leurs.
Avoir confiance en soi et en l’autre passe énormément par le physique, pour s’ancrer dans la réalité du vivant. Retrouver son corps après 50 ans est une clé essentielle pour passer à l’acte.
La solitude au positif
Au même titre que nous avons besoin d’échanges, nous avons besoin de solitude. Chaque jour. Être tournée vers les autres et tournée vers nous-même, en alternance, à la bonne dose, c’est très équilibrant. En plus des vraies amies, c’est ce qui manque le plus aux femmes qui travaillent tout en élevant une famille.
Pour elles, être seule est un luxe, surtout lorsque cette solitude est débarrassée des préoccupations au sujet d’autrui.
Mais il n’est pas facile de s’évader rapidement de ses tracas quand on est seule. Au contraire, ils ont tendance à prospérer de façon incontrôlable.
Une façon d’y remédier est de se lancer dans une activité créative au moyen de ses dix doigts (ou de nos dix orteils ! ). Le principe est d’enclencher un geste simple et répétitif. Nos mains ou nos pieds, rendus actifs, génèrent alors de nouvelles pensées – étonnant non ? Littéralement, cela nous « change les idées ». C’est exactement ce que nous faisons quand l’ennui nous envahit.
Mettons notre solitude à profit pour régénérer nos pensées et repartir sur un bon pied.
Ce que les relations apportent après 50 ans
La richesse des liens profonds et la réinvention des relations nous permettent d’accéder au partage et à la liberté d’être nous-même. Nous pouvons « penser ensemble », et partager un espace affectif et émotionnel accueillant.
Nous nous transformons et nous enrichissons continuellement notre identité grâce aux autres. La profondeur et la variété de nos liens sont la source de notre bonheur, de notre chaleur, de notre confiance dans la vie.
Cette renaissance après 50 ans, majestueuse, nous pousse à trouver ces « autres » qui vont nous nourrir, et réciproquement.
N’oublions pas : les déceptions ponctuelles ou répétées ne sont rien par rapport à la joie existentielle qu’ils nous apportent. Soyons généreuse et volontaire dans nos rapports humains et dans toutes nos relations après 50 ans, toujours.
Renaître, c’est aussi oser se raconter.
Ce blog continuera de le faire, chaque dimanche matin. Inscrivez-vous à ma newsletter et écrivez-moi dès que vous en ressentez l’envie. J’adore vous lire, j’adore vous répondre. Ce blog est un espace d’échange et de réflexion entre vous et moi sur ce thème fabuleux de la réinvention personnelle, profitez-en.
Tous les articles piliers de cette série sur la renaissance :
–La renaissance féminine après 50 ans
-Réinventer sa vie après 50 ans : rythmes, routines, surprises
-Relations à soi et autres autres après 50 ans
-Retrouver son corps après 50 ans : regard; bienveillance et liberté
Pour aller plus loin dans ce blog :
- Lassitude du couple : se réinventer quand les enfants partent
- Tromper son conjoint, ça fait du bien ou ça fait du mal ?
- Tout pour sortir de la solitude des femmes après 50 ans !
- Dépasser le syndrome du nid vide et se reconstruire
- Les transformations affectives de la société contemporaine
Enfin je vous invite à laisser un commentaire, et à partager votre propre expérience sur le sujet.