L’utilité sociale après 50 ans est une des sources principales du bonheur. De façon tout à fait contre-intuitive, c’est en aidant les autres que l’on ressent ce sentiment de joie profonde. C’est donc par l’intermédiaire de l’autre que nous devenons heureux.
Le sentiment d’utilité nous incite à nous lever le matin, à poursuivre une action malgré des conditions difficiles, à nous surpasser.
Voilà le moteur qui nous fait grandir : s’engager et agir pour autrui.
Selon la définition officielle, l’utilité sociale satisfait un besoin qui n’est pas pris en compte par le marché ou qui l’est de façon peu satisfaisante. Je vous propose aujourd’hui d’observer ce que l’on peut en dire en tant que femme et mère, particulièrement dans le contexte de la famille, désormais bien malmenée.
Comment notre génération qui passe la cinquantaine peut-elle redonner leurs lettres de noblesse aux liens du foyer ? Cet article est un plaidoyer pour réinvestir la famille, après des décennies de travail à l’extérieur.
L’évolution de notre vie de quinquas
L’utilité sociale en décalage avec l’éducation
Il me semble que l’on met longtemps à comprendre la nécessité d’avoir une utilité sociale.
Jeunes, nous étions poussées à étudier, à trouver un travail, à faire des choix affectifs, tout cela avec des objectifs de court terme.
L’insertion dans la vie que les adultes nous proposaient (nous imposaient) consommait toute notre énergie, surtout si nous nous y sentions inadéquates.
Ces années d’entrée dans la vie d’adulte pouvaient nous décevoir, alors que pendant l’adolescence, moment magique et turbulent, nous rêvions à notre place dans le monde, à l’influence que nous pourrions avoir, à l’impact de nos activités.
L’entrée dans la vie matérielle
Petit à petit, nous sommes forcément entrées dans l’engrenage de la consommation et de la gestion du quotidien. Dans ce monde, il n’est plus temps de rêver. Il faut trouver du travail, entretenir son statut, gagner de l’argent, élever les enfants.
Nous apprenons à cacher les aspirations de notre cœur et notre désir d’harmonie perso/pro car nous sommes convaincues qu’ils ne sont pas faisables, en tous les cas pas maintenant.
Nous devenons parfois un peu amères, sans illusion. Ou alors nous nous méfions de ceux qui ne partagent pas notre idéalisme.
Jusqu’au jour où nous prévenons nos enfants que la vie est dure et qu’ils devraient trouver un CDI plutôt que de militer contre l’extinction des insectes.
Le monde réel, le monde rêvé et nous, ça fait trois.
L’engagement après 50 ans
C’est paradoxalement ce sentiment de décalage entre la réalité, la vision d’un monde idéal et la façon dont nous aimerions mener notre vie qui nous conduit à nous remettre en question après 50 ans, par exemple en retrouvant son corps, ou encore en nous engageant.
S’engager, c’est le premier pas vers le changement. La réintégration de ces trois composants de façon volontaire et constructive : réalité, vision, nous.
Car on choisit une activité d’entraide.
Oui, le volontariat est le produit de notre propre volonté, ça n’est pas une position professionnelle que nous acceptons au hasard ou par nécessité.
C’est aussi le lieu où nous agissons avec compétence et méthode, mais de façon désintéressée.
Travail gratuit, possible ou pas ?
Le don de soi vs la nécessité
C’est l’occasion de revenir sur ce sujet des ressources financières, qui vous préoccupe beaucoup.
Il n’est jamais évident de renoncer à toute ou partie de son salaire pour poursuivre un but ambitieux ou l’œuvre de sa vie.
Nous sommes éduquées pour « gagner notre vie », pas pour « créer notre vie ».
J’ai vous ai souvent entendu dire qu’il était inenvisageable de travailler gratuitement. Et il ne s’agit pas que d’une question d’argent.
Exercer une activité impliquante sans rémunération nous placerait symboliquement sur un plan inférieur aux autres.
L’image « amateur » du bénévolat
Souvent, nous nous avons la sensation de ne pas être totalement prises au sérieux car ce sont :
-Des activités nobles et respectables, sans aucun doute, mais annexes, non-prioritaires, qui nous occupent tout comme le ferait un hobby.
-Des activités qui ne sont pas fondamentalement importantes – car tout ce qui est important est monétisable, n’est-ce pas ?
-Des activités qui ne contribuent pas beaucoup à notre statut social, largement basé sur notre éducation et nos revenus.
-Des activités de petites-mains où l’on reste dans l’ombre, sauf pour les présidents d’associations.
-Des activités qui ne devraient pas exister, en somme, car elles compensent un système social déficient et fâché avec le monde d’aujourd’hui. Aux antipodes de l’Entreprise, qui elle n’agit jamais pour rien.
Choisir le bénévolat comme mode de vie, c’est le lot des artistes et des militants, pour qui l’expression est plus importante que le rapport.
Et pourtant l’engagement, c’est en quelque sorte la façon dont chacun d’entre nous vit sa vie d’artiste humain.
L’utilité sociale après 50 ans
Les raisons de l’engagement social après 50 ans
On s’engage pour de multiples raisons qui ont toutes un lien avec le besoin d’être utile, l’altruisme et le bien-être d’autrui, sans en attendre de bénéfices tangibles :
Pour le sens.
Pour l’impact.
Pour la justice.
Pour servir une cause.
Pour l’intérêt général.
Pour la responsabilité.
Pour l’efficacité.
Pour le futur.
Pour le désintéressement.
Pour le dévouement
Pour le don de soi.
Pour l’oubli de soi.
Pour l’expression de soi.
Pour le partage.
Pour l’humilité.
Pour la reconnaissance.
Pour l’entraide.
Pour la rencontre.
Pour l’amitié.
Pour l’ouverture.
Pour l’appartenance.
Pour la communauté.
Pour la solidarité.
Pour la liberté.
Pour la découverte.
Pour le progrès.
Pour soulager.
Pour secourir.
Pour apprendre.
Pour transmettre.
Pour le fun.
De multiples secteurs nous accueillent à bras ouverts en tant que bénévole, comme vous le verrez dans cet article. L’expérience en vaut la chandelle !
Même si notre part de volontariat se résume à aider notre famille, n’oublions pas la richesse du soutien que nous apportons et la portée de notre dévouement, en lisant et relisant cette liste ci-dessus.
Les mères, professionnelles du bénévolat après 50 ans
Le monde économique, celui dans lequel nous évoluons en tant qu’adultes, n’est pas basé sur les valeurs de solidarité humaine, de générosité, d’utilité sociale et de gratuité de son temps.
Ça n’est pas un problème en soi, à condition de s’assurer que l’entraide circule bel et bien dans les secteurs où les échanges d’argent sont modestes ou impossibles.
De surcroit, et vous ne manquez jamais de me le dire, nous avons déjà eu une vraie mission impactante et désintéressée, qui a duré longtemps : l’éducation des enfants et l’organisation de la vie familiale.
-L’abnégation qu’elle a nécessitée peut nous conduire, une fois les enfants grands, à ne plus vouloir nous frotter au manque de reconnaissance du travail gratuit. L’effacement, c’est terminé. Nous préférons prendre soin de nous et réorganiser notre vie comme on le voit dans cet article : routine, souplesse et surprise avec 50 ans.
-Elle peut aussi, au contraire, nous inciter à utiliser les compétences que nous avons acquises pour poursuivre mais vers d’autres secteurs d’activités, choisis avec circonspection.
Gagner sa vie ou/et s’engager ? Le choix des quinquas
Les choix de notre génération de quinquas
Malgré nos dénégations, notre génération a massivement choisi de considérer le foyer comme étant secondaire par rapport au travail rémunéré, devenu prioritaire.
Que nous ayons eu ou pas les moyens financiers de rester à la maison, notre image en aurait pris un sacré coup – et notre entourage se serait empressé de nous convaincre que nous ne pourrions jamais espérer retravailler.
Et puis nous risquions de tout perdre en cas de divorce, qui ne cessait de progresser.
Pour nous, les considérations financières et les avantages associés sont devenus incroyablement plus puissants que l’appel d’une mission familiale – si tenté que s’occuper du foyer en soit une.
A la maison, nous avons calculé que notre sphère d’influence serait des plus réduite, cantonnée à quelques personnes occupées le soir et le weekend à se détendre plutôt qu’à apprendre ou produire.
En rejoignant une entreprise, cette influence allait changeait d’échelle, prendre une tout autre dimension.
L’essor du consumérisme
Tout ce temps passé à travailler à la maison ne devait-il pas être rentable, productif, matériellement visible ?
Pourquoi s’astreindre à s’occuper des enfants alors qu’aucun bénéfice sonnant et trébuchant n’en découlait ?
Nous nous sommes convaincues que s’occuper uniquement ou presque de notre famille n’était pas une activité digne de nous.
Nous étions capables de beaucoup plus.
Éduquées et indépendantes, ou persuadées que nous étions en voie de l’être, nous sommes devenues des consommatrices avides et avisées.
La famille, cible d’une nouvelle économie de services
L’appel pour que les femmes délaissent les métiers du lien
La pression sur les femmes augmente monte encore et passe une nouvelle étape : l’air du temps va à l’encontre des choix féminins pour les métiers du care, de l’éducatif et l’information, que nous avons massivement investis.
Ils sont désormais présentés comme un piège – car peu rémunérés financièrement et socialement sur le long terme.
On conseille à toutes les jeunes filles qui en sont capables de ne pas suivre d’études littéraires ou sociales mais d’investir les secteurs technique et scientifique où se situent les meilleurs salaires et le pouvoir qui y est lié.
Bon, nos filles ont intérêt à se passionner pour l’intelligence artificielle si elles veulent tenir leur rang de de personnes modernes et progressistes. Conséquence, les salaires de ces métiers du care vont croître si ce sont les hommes qui les occupent.
Le règne des services payants
L’époque pousse les filles à vivre de façon complètement indépendante tout en développant des liens de sororité, comme s’il fallait se préserver des hommes.
Car la morale a changé de bord et privilégie un certain type de féminisme qui rejette tout intérêt de la vie familiale et de l’entretien du foyer, jugés rétrogrades, aliénants… et surtout gratuits.
Ce travail-là ne générant pas d’argent, il n’a aucun intérêt financier et ne peut être considéré comme faisant partie du système économique.
Seul le modèle où les parents sont rémunérés et embauchent des prestataires pour s’occuper de leur maison et de leurs enfants devient donc judicieux, car tout le monde en profite en percevant un salaire. L’argent circule et chacun y participe, en l’acquérant et en le dépensant.
De nouveaux types de foyer
En parallèle, on voit de multiples foyers où des personnes sans lien de sang cohabitent, par exemple les étudiants ou les personnes âgées.
De plus en plus d’adultes, parfois accompagnés d’enfants, choisissent ce type de partage et d’entraide, utilisé avant tout pour diminuer les coûts mais débouchant parfois sur de vrais liens de solidarité.
La cellule familiale stable et durable pourrait donc non pas disparaitre, mais devenir « une solution » parmi d’autres dans les parcours de vie, qui dans la société d’aujourd’hui ont tendance à se fragmenter plutôt qu’à perdurer.
La montée en gamme de l’amitié joue aussi de façon évidente, souvent en remplacement de l’engagement conjugal.
On pourrait très bien observer le développement du Pacs chez les amis, de même sexe ou de sexe différent. Le couple amical n’est pas si différent du couple amoureux, finalement, lorsque l’on vieillit.
L’individualisme qui ronge notre époque
L’entreprise nouveau modèle de la famille
On peut y voir un progrès social.
Souvent, il s’agit d’un arrangement pratique et intelligent : dans ces cellules sociales, chaque adulte contribue financièrement et l’organisation ressemble à celle d’une entreprise.
Aucune mère n’est alors obligée de se sacrifier pour entretenir bénévolement les liens, la cuisine et le ménage. Chacun, enfants compris, participe et obtient ainsi une reconnaissance statutaire de ses « colocataires ».
Pour ma part, je ne peux m’empêcher de penser qu’il s’agit d’une survalorisation de la société de consommation, qui adore quand les ménages se multiplient et génèrent de nouveaux besoins et de nouveaux marchés.
Il est dans l’intérêt du système économique occidental que chaque adulte en âge de travailler produise un revenu et le dépense, aussi longtemps que possible.
Ce point de vue est extrêmement présent dans les services marketing, occupés à travestir les valeurs féministes et transformer les mères au foyer opprimées en wonderwomen, dotées d’un portefeuille bien garni et d’une aspiration à la conquête.
La fin d’une vision traditionnelle jugée inadaptée
Je sais que je ne suis pas la seule dans ce bas monde à avoir aimé m’occuper de ma famille et de ma maison sans considérer cela comme une déchéance – en utilisant mes méninges de la même façon qu’en situation professionnelle et en visant des résultats honorables, et pourquoi pas excellents, comme dans n’importe quel boulot.
Je me suis sentie investie d’une véritable utilité sociale et réellement valorisée, tant l’éducation des enfants me tient à cœur.
-Mais bien sûr, il faut savoir ce que l’on vaut, avoir un conjoint coopératif et accepter qu’il finance le ménage, enfants compris.
-Il faut vivre avec moins.
-Il faut vouloir comprendre ce qu’est le partage et ce qu’est la réciprocité.
-Il faut s’autoriser toute la liberté nécessaire, s’approprier le pouvoir et ne jamais se mettre en position ni inférieure ni supérieure, mais complémentaire.
Tout cela se situe bien loin du paternalisme imposé que l’on nous présente.
Renversons l’image désastreuse de l’engagement au foyer
Notre société donne tellement d’importance à l’argent que ce schéma semble aujourd’hui insurmontable : celui « qui travaille » a l’air d’un héros autoritaire et condescendant, celle qui « ne travaille pas » ressemble à une paresseuse soumise et sans cervelle.
Reste que la sécurité familiale se fane.
L’interdépendance conjugale s’efface, de même que l’interdépendance générationnelle : il est trop contraignant de s’occuper de ses vieux parents ou de ses petits-enfants quand on mène sa carrière ou qu’on veut enfin profiter de la retraite.
Après 50 ans, la solidarité familiale et le lien intergénérationnel concernent à la fois :
-la transmission vers les plus jeunes,
-la protection vers les plus âgés,
-l’équitabilité avec les adultes.
Les relations à soi et aux autres demandent un vrai effort, parfois un redémarrage. Et l’on sent intuitivement que cela en vaut le coup.
L’avenir des attaches interpersonnelles
Le bouleversement climatique ne constitue pas la seule menace pour l’avenir de nos enfants. La solidité des liens et la confiance en l’autre est également en jeu. Il faut des années pour apprendre et transmettre cette force.
Observons le retour très visible des pratiques religieuses traditionalistes chez nos enfants, toutes religions confondues et dans tous les pays occidentaux, par rapport à notre génération et à celle de nos parents.
-Est-ce seulement le signe d’un besoin de spirituel par opposition à l’omniprésence du matérialisme ?
-N’est-ce pas aussi et surtout la recherche d’une confiance perdue les uns dans les autres, d’une cohésion sociale, d’une continuité familiale, d’un modèle de vie structuré et sûr ?
-Voire d’un désir très nouveau de ne pas faire moderne, car la modernité est synonyme de fragmentation ?
La génération d’avant nous avait donné accès la liberation sexuelle et l’accès aux études.
Notre génération a été celle du divorce et de l’emploi pour toutes.
Tout cela nous a apporté une indépendance construite et méritée, mais aussi un éloignement du foyer et de sa chaleur.
A nous de restaurer aujourd’hui les liens absents, défais ou abimés et de tendre la main vers ceux qui se sont retrouvés seuls dans la vie.
La renaissance féminine après 50 ans, c’est aussi considérer sa famille d’un nouvel œil.
Quelle l’entraide demain pour remplacer la famille ?
Est-ce que l’on a des alternatives à la famille ?
Cela dit, la société à venir n’est absolument pas prête à offrir une structure alternative à la famille.
Nous nous trouvons d’ailleurs dans une intéressante période intermédiaire où nous tenons encore au noyau familial… mais où nous ne voulons plus nous en occuper.
Et nous n’avons pas encore d’autre schéma qui prenne en compte tous et chacun, ceux qui peuvent gagner de l’argent et ceux qui ne le peuvent pas.
Comme ne s’appuyer que sur soi-même pour survivre et se développer est impossible, il va falloir créer de nouveaux types de réseaux d’entraide, durables et solides.
Inventer d’autres cellules que celle du modèle familial, puisqu’il apparait qu’elle nous ignore et nous dévalorise, nous les mères.
Le rôle prépondérant de l’investissement humain
Mais qui donc va s’en occuper ?
Est-ce que le milieu associatif va devoir prendre le relai ? Les auto-entrepreneurs ? De grandes sociétés de services spécialisées ?
Chaque individu sur terre doit pouvoir s’appuyer d’autres personnes, pour longtemps, quand il est jeune, quand il est vieux et chaque jour entre les deux – sans quoi il ne peut pas vivre.
Parions que nous allons être très sollicitées, nous les quinquas qui passeront un jour à la retraite.
-Allons-nous devoir aller directement dans ces foyers désertés dans la journée pour reconstituer une unité qui manque ?
-En tant que grand-mère, en tant que membre bénévole d’une organisation ?
-Ou peut-être en tant que professionnelle offrant ses services quelques heures par jour ?
La cohésion familiale, une vraie forme d’utilité sociale après 50 ans
D’une façon ou d’une autre, les enfants et les personnes âgées ont besoin d’être entourés et accompagnés par des adultes qui s’occupent d’eux.
Et les parents ont aussi besoin de leurs pairs, de discuter entre eux, de se sentir épaulés. De grandir. De souffler.
Il va donc falloir appuyer ces familles qui ne se retrouvent plus dans le modèle traditionnel. Tout en laissant les pères et les mères gagner et dépenser leur propre revenu, et vivre de plus en plus séparément, comme ils aiment tant le faire.
Je suis certaine que beaucoup d’entre nous, quinquas puis sextas, vont se retrouver de gré ou de force dans une situation de « personne de cohésion », entretenant les liens dans une famille où chacun est si indépendant et si occupé.
Ce mouvement semble aller à l’encontre du besoin de liberté et de renaissance que les femmes d’après 50 ans expriment aujourd’hui.
Nous allons donc devoir faire des ajustements pour que tout le monde s’y retrouve.
On n’a pas fini d’en parler.
Renaître, c’est aussi oser se raconter
Ce blog continuera de le faire, chaque dimanche matin. Inscrivez-vous à ma newsletter et écrivez-moi dès que vous en ressentez l’envie. J’adore vous lire, j’adore vous répondre. Ce blog est un espace d’échange et de réflexion entre vous et moi sur ce thème fabuleux de la réinvention personnelle, profitez-en.
Tous les articles piliers de cette série sur la renaissance :
–La renaissance féminine après 50 ans
-Réinventer sa vie après 50 ans : rythmes, routines, surprises
-Relations à soi et autres autres après 50 ans
-Retrouver son corps après 50 ans : regard; bienveillance et liberté
–Utilité sociale et renouveau après 50 ans : l’engagement pour la famille
Pour aller plus loin dans ce blog :
–L’engagement local et environnemental : les choix de Christine
–Notre place d’éducateur dans le bonheur des jeunes
–Adapter ses valeurs pour mieux vivre
–Engagement et bénévolat : ces missions qui nous tiennent à cœur
Enfin je vous invite à laisser un commentaire, et à partager votre propre expérience sur le sujet.